Diplomatie économique
Prenez un sénateur du MR du nom de Armand de decker qui plus est Bourgemestre d'Uccle, sont assistant Jonathan Biermann, avocat au barreau de Bruxelles depuis 2003, échevin MR d'Uccle depuis 2013 aux Travaux, à la Mobilité et au Stationnement et aux Nouvelles technologies, conseiller d'Armand De Decker lorsqu'il était président du Sénat, de fin 2007 à 2012. Tous c'est personnage qui occupe des mandats publique et qui se serve de leurs mandat pour s'enrichir avec la mafia et la diplomatie etrangere se sont mis plein les poche, 730 000 euros pour le sénateur Armand de decker, son assistant Jonathan a touché 190 000 euros. Ses messieurs se sont mis au service de la mafia de l'Azerbaïdjan présente en Belgique au service de la diplomatie économique de la France. Le plus beau dans l'histoire c'est que c'est la police française qui fait le travail de la police belge, qui elle est totalement effacée dans l'histoire. Servir les intérêts des pays étrangers alors qu'ont n'est censé servir les intérêts de sont pays mérite que la Sureté de l'état s'intéresse a c'est belges qui serve les puissances étrangères. Pour bien comprendre cet magouille qui implique des politiques, il est utile de regardé le documentaire présenté par Cash investigation.
Comme l'indique le juge Grouman (en charge de l'enquête, en France) dans un document, "aucune note d'honoraires émanant du cabinet" de Me De Decker n'a été découverte. Il poursuit : "Me De Decker n'est jamais mentionné, à l'inverse de ses confrères, parmi les avocats intervenus lors des différentes réunions [...] A la demande de M. Étienne des Rosaies (chargé de mission à l'Élysée du temps de Sarkozy et mis en examen en France), il ne fallait pas que Me De Decker apparaisse." La justice française nourrit donc de forts doutes sur le rôle réel joué par l'homme politique belge. A-t-il vraiment été partie prenante ? S'est-il contenté de faciliter la tâche à Me Degoul ? "MeDegoul allait voir le lobbyiste De Decker qui lui ouvrait toutes les portes, a pourtant confirmé Guy Vanden Berghe (un ingénieur belge à la retraite soupçonné d'avoir joué les intermédiaires entre les Kazakhs et l'Élysée, poursuivi par la justice française lui aussi). Il me semble qu'elle était mise en relation avec De Decker directement de Paris à Bruxelles par téléphone entre homologues du même niveau, Guéant pour la France et [Didier] Reynders pour la Belgique [...] Elle me disait qu'elle travaillait 'avec le Château', c'est-à-dire l'Élysée."
Comme l'indique le juge Grouman (en charge de l'enquête, en France) dans un document, "aucune note d'honoraires émanant du cabinet" de Me De Decker n'a été découverte. Il poursuit : "Me De Decker n'est jamais mentionné, à l'inverse de ses confrères, parmi les avocats intervenus lors des différentes réunions [...] A la demande de M. Étienne des Rosaies (chargé de mission à l'Élysée du temps de Sarkozy et mis en examen en France), il ne fallait pas que Me De Decker apparaisse." La justice française nourrit donc de forts doutes sur le rôle réel joué par l'homme politique belge. A-t-il vraiment été partie prenante ? S'est-il contenté de faciliter la tâche à Me Degoul ? "MeDegoul allait voir le lobbyiste De Decker qui lui ouvrait toutes les portes, a pourtant confirmé Guy Vanden Berghe (un ingénieur belge à la retraite soupçonné d'avoir joué les intermédiaires entre les Kazakhs et l'Élysée, poursuivi par la justice française lui aussi). Il me semble qu'elle était mise en relation avec De Decker directement de Paris à Bruxelles par téléphone entre homologues du même niveau, Guéant pour la France et [Didier] Reynders pour la Belgique [...] Elle me disait qu'elle travaillait 'avec le Château', c'est-à-dire l'Élysée."
Liens: https://youtu.be/neE6Bdsqubs
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire