15/02/2018

La corruption atteint des sommets dans la commune de Bruxelles


1 000 EUROS PAR JOUR POUR UN CONSULTANT... PSEUDO DIRECTEUR



karine lalieux, mafieuse depuis 18 ans au sein de GIAL

On n’a rien à envier à la ville de Naples, capitale du crime et de la drogue en Italie. Chez nous on fait mieux mais en totale tranquillité. 
Et pour cause, dans les innombrables ASBL et en l'occurrence celle qui nous intéresse GIAL, on surclasse les SOPRANO à la télévision. En cause cet echevine (député) de l'informatique Karine Lalieux de la ville de Bruxelles qui est deja impliqué dans la Kazagate en couvrant un parlementaire Alain Mathot impliqué dans des faits de corruption et poursuivi par la justice belge en votant contre sa levée d'immunité. Maintenant une nouvelle affaire réapparaît ou elle est mis en cause une nouvelle fois avec sont confrère échevin du PS Ouarghli ...

Gial, c'est l’ASBL chargée de la gestion de l’informatique pour la Ville de Bruxelles, est en infraction pour des milliers de contrats conclus en dehors de la législation sur les marchés publics avec des entreprises privées. Des contrats passés a la tête du client et au portefeuille bien garni pour certains. Un audit sévère les a épinglés, mais rien na bougé et ni la justice ne sait saisis de l'affaire. Comme ce consultant Michel Leroy qui touche 1000 euros par jours et qui est également directeur du GIAL, et bénéficiaire d’un contrat de faux indépendant au moment de sont recrutement sans appel a candidature... Depuis 2000, Gial est présidée par des échevins bruxellois socialistes c'est tout dire de la gestion du Parti socialiste qui a a la main mise sur la commune de Bruxelles.

Et comme la corruption est érigée dans le coeur de c'est mafieux d'élus, saviez-vous que les anciens directeur generale du nom de Jean-Marc Goeders de 2008 à 2015 qui se sont succédé a la tête du GIAL etait rémunéré 1250 euros par jours de travail. 3 anciens gérants ont touché au moins le jackpot pendant des années. Certain d'entre eux ce sont vu offrir des voyages dans de beaux pays par les fournisseurs qui captait des marchais public sans passer par des appels d'offres. Et pour écarté les curieux directeurs, ont inventait des faux témoignages au sein du GIAL en portant plainte au civil devant la justice contre les gérants pour les empêchés de regardé dans les contrats de travail et les marchés publics. Ces plaintes ont été classées sans suites en 2017et les gérants ont été au prud’homme et bien ceux-ci vont toucher le magot devant la justice au détriment de la commune de Bruxelles.
Pour les autres échevins de la commune de Bruxelles qui siégeait au sein du GIAL, ceux était tenu a l'écart des décisions des marchés et des recrutements en dehors de toute logique, et pour cause, il existait un circuit administratif qui ne passait pas par c'est échevins la au sein du GIAL.




Pour l'échevin Mohamed Ouriaghli "87% des dépenses ne posent pas problème" 



Comment distribuer du cash aux sociétés privées en totale opacité ?

Exemple avec trois dépenses de Gial opérées en 2016 ont été artificiellement scindées auprès de trois sociétés basées à la même adresse pour éviter l’application des marchés publics, rien moins que ca.

Des logiciels développés en interne par le GIAL étant donné gratuitement a une entreprise privée, bénéficiant ainsi du code source elle c'est fait de l'argent en le revendant sur le marché et empochant le magot. Quand à la propriété intellectuelle elle n’a jamais rien reversé à GIAL puisque ceux-ci n'ont jamais signé aucun document d'affaire avec le GIAL.

Dans d'autres cas, une entreprise privée qui a remporté miraculeusement un marché public vend des logiciels gratuits à GIAL au prix fort ! Du matériel destiné a la police fédérale qui disparaît, don la valeur est de 400000 euros. Dans un autre cas, 3,5 millions et demi d'euros se sont volatilisé. Tout cela n'est que la partie visible de l'iceberg. Si ont creusé je suis sur que l'ont peut trouvé encore plus pire chez les matheux de la ville de Bruxelles

Les constats de non-conformité est également de mise pour l’acquisition de fournitures informatiques et de licences relevant du droit exclusif de certains prestataires et payer dix fois le prix du marché des licences. Personne d’autre que ceux-ci n’auraient pu concourir puisque les marchés été passer sans appel d'offre et a la tete du client via le copinage et la corruption. Pas de mise concurrence possible.Le rapport pointe encore la mise à niveau de la centrale téléphonique de la Ville de Bruxelles sans appel d'offre. Pas conforme. Plusieurs consultances juridiques sont évoquées comme non conformes également. On continue. 44.000 euros pour des cartes essence: non conforme. 10.500 euros d’étiquettes: non conforme. Plus de 25.000 euros pour une fontaine d’eau, la plus chere du monde ! des machines à café et un distributeur de sodas: non conforme et qui n'ont jamais fonctionné et payer cach. Maintenance des bâtiments (de 10.000 à 40.000 euros selon les contrats). Non conforme toujours. Des assurances contracté sans appel d"offres pour des montant de 500 000 euros au moins !

Entre 2000 et fin décembre 2017, Gial, l’asbl créée en 1993 par la Ville de Bruxelles pour prendre en charge la gestion, le développement et l’exploitation de son informatique, a versé quelque trois millions d’euros ! à Michel Leroy, son directeur du développement. Ce dernier, membre du comité de direction, n’était pourtant pas salarié de l’asbl. Il bénéficiait d’un contrat de consultance, et qui s’apparente à un contrat de faux indépendant, et dont le marché public est conclu sans aucune mise en concurrence !
Au tournant du siècle, Gial fait appel à Michel Leroy pour ses compétences avérées dans le secteur des réseaux informatiques. Ce que l’asbl a parfaitement le droit de faire. « C’est à l’asbl de juger si elle a besoin de compétences extérieures, aucun tribunal ne pourra juger que ce n’est, éventuellement, pas opportun. »

En vertu d’une raison toujours obscure à ce jour, Michel Leroy n’est pas engagé sous statut salarié par l’asbl. Un contrat de consultance informatique est conclu avec lui, ou plus précisément avec la sprl Altera Via, dont il est le gérant. Le contrat, dont la version de 2008 porte la signature de Karine Lalieux, alors échevine de l’informatique à la Ville de Bruxelles et présidente de Gial, prévoit que Michel Leroy prestera 175 jours de travail par année civile, au prix forfaitaire de 875 euros par jour, hors TVA. Soit un total de 153 125 euros, ou 185 281,25 euros, qu’il octroie périodiquement, en général tous les quatre ans, afin de s’assurer qu’il fait bien affaire avec le prestataire de services dont le rapport qualité-prix est le plus intéressant.

En vertu de ce contrat, le consultant « détermine librement comment et quand il exécute sa mission. En contrepartie, il établira un rapport d’activités chaque mois, mentionnant les tâches réalisées au cours de la période ». Le document prévoit encore qu’en cas d’empêchement grave de Michel Leroy, l’exécution de la prestation de services deviendra impossible, ce qui entraînera de facto la fin de la convention. Il s’agit donc bien d’une convention taillée sur mesure pour lui. « Ce contrat est conclu en raison de la qualité des personnes », peut-on d’ailleurs y lire.

Contacté, Michel Leroy n’a pas souhaité répondre aux questions et a renvoyé à la direction de Gial. Le contrat précise pourtant « qu’il n’y a aucune relation juridique entre les parties et aucun rapport de subordination entre Gial et Altera Via et son gérant ». Etonnant, dès lors que ce dernier est directeur du développement de Gial et est supposé, à ce titre, rendre des comptes à son administrateur délégué et à un conseil d’administration.

Un audit de Gial, réalisé par le cabinet d’avocats VDE Legal et dont les conclusions sont datées du 27 octobre 2017, a notamment épinglé le contrat entre Gial et Altera Via, le jugeant contraire au regard de la loi . « On peut travailler avec un consultant payé à ce prix-là pendant une ou deux semaines, mais pas pendant dix-huit ans », confirme Mary-Odile Lognard, administratrice déléguée de Gial depuis août 2017. Le contrat avec Altera Via a donc été cassé en décembre dernier, moyennant un préavis de six mois que Michel Leroy, dont les compétences ne sont pas en cause, preste actuellement. Gial souhaite toujours travailler avec cet expert à l’avenir, mais le mettra en concurrence avec d’autres et lui appliquera, le cas échéant, des tarifs nettement moins élevés. Michel Leroy ne fera plus partie non plus du comité de direction. A la date du 8 février, l’organigramme de Gial consultable sur le Net le présentait toujours comme directeur. « Notre volonté est de mettre de l’ordre dans la maison », affirme Mary-Odile Lognard.

Le montant total qui aura été versé à Altera Via en dix-huit ans, dans le cadre de ce contrat illégal, avoisine les 3 millions d’euros, sachant que les émoluments initiaux ont fait l’objet de révisions et d’indexations. En 2017, cet expert en informatique touchait 1 000 euros par jour, hors TVA. Soit 270 000 euros pour l’année.

Pendant ces dix-huit ans, les contrats litigieux ont toujours été signés par les autorités politiques en charge de l’informatique. Depuis 2000, Carine Vyghen, Freddy Thielemans, Marie- Paule Mathias et Karine Lalieux, tous socialistes, ont successivement occupé la présidence depuis la creation du Gial. Celle-ci est désormais occupée par Mohamed Ouriaghli, également échevin bruxellois de l’informatique. Jusqu’à la suspension du contrat conclu entre Gial et Altera Via, c’est lui qui a validé toutes les factures supérieures à 7 500 euros qui lui étaient présentées par Michel Leroy. Celles-ci figuraient, il est vrai, dans une liste globale de dépenses.

13 % DES DÉPENSES POSENT QUESTION

Dans un audit, le cabinet d’avocats VDE Legal pointe plusieurs dysfonctionnements dans la gestion des deniers publics chez Gial.

L'an dernier, la direction de Gial a mandaté VDE Legal pour faire la lumière sur l’ensemble des marchés publics de l’asbl. Selon l’audit, 4 646 dépenses ont été consenties par Gial, pour un total d’environ 16 millions d’euros (TVA comprise), entre le 1er novembre 2015 et le 31 décembre 2016, répartis entre 349 bénéficiaires, dont 54 ont emporté le marché dans le cadre d’une offre publique incontestable. Les contrats légalement décrochés représentent plus de 12 millions, soit 75 % des dépenses de Gial.

Parmi les 295 autres bénéficiaires, dont les services ou fournitures n’ont pas fait l’objet de marchés publics, 238 ont traité avec Gial pour des montants inférieurs aux seuils financiers qui imposent ce type de procédure : soit 8 500 euros hors TVA, selon la législation en vigueur en 2015 et 2016. Depuis le 1er janvier dernier, ce seuil a été porté à 30 000 euros. Restent 57 bénéficiaires, qui ont perçu des montants supérieurs à 8 500 euros. Additionnées, leurs factures représentent 3,2 millions d’euros. Sur ce total, un solde d’environ 2,2 millions, soit 13,7 % des dépenses totales de Gial, est « sujet à questions », relèvent les auditeurs. L’analyse de ces dépenses prouve que, pour une partie d’entre elles, Gial aurait dû passer par une procédure de marché public. Les contrats conclus pour son secrétariat social, la maintenance immobilière, les assurances-groupes et hospitalisations proposées au personnel, les services de recrutement de personnel et ses licences informatiques, entre autres, sont pour l’instant hors la loi.

VDE Legal relève aussi les dépenses effectuées par Gial à la suite de commandes passées pour son compte par des centrales d’achats ainsi qu’aux dépenses qu’elle doit consentir, à la demande de la Ville de Bruxelles, pour le secteur de l’instruction publique. Il arrive ainsi que des logiciels d’apprentissage soient testés par du personnel enseignant de la Ville, qui souhaite ensuite en acquérir davantage. « Dans ce cas, indique Mary-Odile Lognard, administratrice déléguée depuis août 2017, ce n’est pas Gial qui a passé le marché initial. Les auditeurs nous invitent à être attentifs à la procédure lancée par d’autres que nous et à nous assurer qu’il y a bien eu comparaison des prix en amont. » « La réalité et la pertinence des dépenses exposées par les tiers devraient être confirmées au Gial avant paiement », insistent les auditeurs. Qui soulignent encore qu’une convention de mandat doit être signée avec les centrales d’achats opérant pour Gial. L’asbl ne devrait accepter de régler la facture que si elle dispose des documents démontrant l’existence d’une procédure de marché et la conformité de la dépense à l’offre jugée la plus avantageuse.

Les auditeurs suggèrent enfin de mettre un terme aux contrats hors la loi. « Un point d’attention doit être porté au contrat de prestations d’un collaborateur indépendant du Gial. » Nul doute qu’Altera Via est ici visée.


Michel Leroy
un habile informaticien qui a des connexion partout dans la ville des mafieux























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